Ce 20 janvier 2023 à 16h05, à la sortie du village de Quarante (34), Sylvie a pu la contempler durant 2 minutes.
Garée près d’une vigne, elle a pu saisir ces 2 images avec son portable. De visu, elle l’a vue plus grosse que les images que nous vous présentons. Elle l’a trouvée magnifique:
Une boule opalescente suivie de deux chevelures.
Voici ces images, prises en plein jour. Dans la première, marquée d’un cercle, le phénomène
est au centre. Selon vos portables, vous pourrez agrandir l’image. La seconde est une photo zoomée au portable.
Ce samedi 16 octobre 2022, nous avons rencontré Jeanne née en 1922. Évocation d’une petite fille parmi tant d’autres dans cette époque de l’entre deux guerres où l’éducation des petites filles, la mode, les divertissements, façonnèrent la femme à venir.
Une exposition temporaire, riche et émouvante qui se déroule au fil des pièces dans le musée du textile à Labastide Rouairoux.
Il faut visiter le Musée, où de machines à tisser, à carder, à créer, se déroule tout le patrimoine de cette région, qui donna autrefois du travail à sa population. Que de vies et de destins ces fils ont tissés !
Et puis, en ce lieu, il y a surtout la gentillesse des personnes qui vous reçoivent et le savoir étonnant de Valentine qui, de sa main fine et légère, redonne la vie au métier à tisser, à la fabrication minute de 10 pelotes de laine, et vous explique en direct l’ingénieux fonctionnement de ces machines.
Plus que la machine, elle fait renaitre le passé, c’est fabuleux et inattendu.
En janvier 2012 nous avons découvert des ossements humains derrière l’autel de l’église d’Oradour/Glane par le biais de photographies prises dans une brèche du mur.
Nous avons fait une déposition. Gendarmes et spécialistes de la recherche scientifique se sont rendus sur place.
Les réactions qui ont fait suite à notre découverte ont été surprenantes.
Livre en préparation.
Notre film original de la découverte, entier, complet et sans modification d’aucune sorte.
Un livre… Le voici dans vos mains. La première de couverture vous appelle. Ou pas. Vous lisez le résumé, vous tournez les pages. Vous choisissez le voyage, ou autre chose. Vous vous arrêtez. Ou vous continuez votre chemin.
Vous vous arrêtez…
«…Sur la route enneigée de cette nuit glacée de janvier, quelque part dans le Sud de la France, Marisa Berland ne se doutait pas de ce qui l’attendait au détour d’un virage. Elle ignorait tout du Gabon. Journaliste pour une revue mensuelle de l’Hérault, elle n’imaginait pas un seul instant ce qu’elle vivrait au cœur de l’hôpital Schweitzer à Lambaréné, dans le sillage d’un médecin pas comme les autres. Les autres…Leurs destins aussi vont se croiser, se séparer, s’aligner, comme les traces des avions dans le ciel. Elle ne voulait pas du Gabon et pourtant… »
« Un livre n’est pas un signe comme les autres, c’est une trace qu’on laisse, indélébile, de ce qu’on a pensé, sérieusement, parce qu’on l’a écrit, relu… » (Léon Schwartzenberg)
Sylvie Goll Solinas
Disponible dès aujourd’hui à la Librairie Clareton Les Sources à Béziers, sur place ou en commande :
Depuis plusieurs mois, nous découvrons sur le sol d’un site particulier de Cruzy de nombreuses « pierres noires », vitreuses, opaques, certaines à angles vifs et tranchants.
Sur ce même site, auparavant, nous avions repéré de multiples fragments d’amphores, mais également 3 morceaux de poterie campanienne, époque attestée par Monsieur BERMOND, (DRAC de Montpellier), ainsi que des restes de cruches et vaisselles anciennes et une belle borne (milliaire, ou servant autrefois à délimiter un domaine).
Dans ce décor archéologique, ces « pierres noires » nous ont longtemps interrogés.
Nous avions confié, en avril dernier, un échantillon de ces masses à Monsieur BERMOND, archéologue assermenté à la DRAC de Montpellier venu à notre demande visiter ce site entre autres, mais sans nouvelles de lui depuis plusieurs mois, nous nous sommes tournés vers Monsieur VAQUER, directeur de recherche émérite au CNRS de Toulouse.
Monsieur VAQUER nous a répondu très rapidement en évoquant des scories vitreuses, et nous a dirigés immédiatement vers Monsieur Bernard GRATUZE, directeur de recherche au CNRS d’Orléans, spécialiste des verres antiques, ingénieur chimiste en archéomatériaux.
A la lecture de la description de nos trouvailles enrichie de photographies, Monsieur GRATUZE nous a confirmé de façon quasi certaine qu’il s’agissait là de laitiers de fonderie, déchets vitreux de l’industrie métallurgique, souvent employés comme matériaux d’empierrage des voies de circulation (déchets postérieurs au 14/15e siècle).
Nous remercions vivement Messieurs VAQUER et GRATUZE pour leur réactivité, la précision de leur réponse et leur disponibilité.
Nous réalisons qu’il est important, avant toute investigation, de faire appel aux personnes scientifiquement compétentes dans le domaine précis qui interroge, au risque de se trouver dans la complexité d’une recherche qui tourne en rond.
Merci messieurs de vous être intéressés à nous.
Une déclaration officielle va être faite très prochainement aux services de la DRAC.
Lettre ouverte pour la défense de Dominique RECH, professeur d’histoire-géographie au collège Bertrand Laralde de Montréjeau.
Nous avons voulu, en son temps, parce qu’il le méritait, citer un collégien aujourd’hui lycéen, qui, passionné d’histoire et de justice, avait présenté à son collège une exposition de grande qualité sur la guerre 14-18. (voir Damien CAPY-THOMINE : un collégien au service de l’Histoire.)
Aujourd’hui nous voulons, toujours dans le souci et le devoir de le dire, parce que Pan de lune est aussi une association qui transmet, s’engage, et soutient quand cela est nécessaire, présenter cette lettre ouverte à toutes celles et ceux qui souhaitent un monde meilleur, délivré de toute hypocrisie.
Cette lettre a pour sujet un professeur d’histoire de Montréjeau calomnié.
Victime d’une rumeur sans nom qui l’enlise avec le temps dans une dramatique injustice, Dominique RECH fait aujourd’hui partie de la longue liste des enseignants touchés dans leur honneur, dans leur mission, et non soutenus par peur, et lâcheté.
Restons simples et clairs. Et que la véritable valeur de ces enseignants soient enfin reconnus.
Dominique RECH est innocent. Qu’on se le dise ! C’est un devoir.
Lettre ouverte pour la défense de Dominique RECH :
« Le 29 janvier 2015, à l’initiative de Monsieur Dominique RECH, professeur agrégé d’histoire et de géographie, l’association Pan de Lune, spécialisée dans la recherche historique et archéologique du Sud de la France, a eu le plaisir et la fierté d’être reçue au collège Bertrand Laralde de Montréjeau.
Les membres de cette association, et moi-même, attachons de l’importance à transmettre les découvertes et les enquêtes que nous faisons et menons, à analyser les faits, à œuvrer pour la vérité, dans un domaine que les initiés « de métier » ne sont pas les seuls à visiter, l’histoire et l’archéologie appartenant aux savoirs de toutes et de tous.
Ce jour là, des classes de 3e purent assister à deux interventions et témoignages, dont la nôtre, concernant en particulier l’histoire des enfants internés pendant la seconde guerre mondiale, et en ce qui nous concerne celle de Rosa Goldmark (1927-1945) enfant juive et internée à tort à l’asile de Lannemezan où elle a trouvé la mort.
Ce jour là, permettez-moi s’il vous plait de me répéter car ce jour fut important, la personne qui m’accompagnait et moi-même avons fait la connaissance d’un professeur qui a su, tout au long d’une conférence qui a duré, conduire ses élèves dans l’idée du respect, de l’écoute, et de la tolérance.
Il n’a pas eu d’ailleurs à les forcer. Ses élèves se sont comportés comme de vrais élèves et pas seulement comme ceux que le règlement scolaire, signé par les familles en début d’année, l’exige. Ils se sont comportés comme des élèves imprégnés des valeurs de la laïcité et qui sont venus ensuite nombreux nous poser des questions, curieux, avides de savoir, touchés par les tragédies que la guerre engendre. Ils ont confié, au cours de ces échanges, leur besoin et leur envie de savoir, mais aussi combien ils estimaient leur professeur d’histoire et de géographie.
Ce jour là, le comportement de ces classes de 3e en a dit long et nous sommes persuadés que ce professeur là n’a pas changé sa personnalité. Il reste et restera l’homme digne qu’il EST. Les personnes actuellement empêtrées dans la toile d’araignée de leurs propos mensongers, comme nous les plaignons ! Un mot de leur part et le retour à la raison pourraient les libérer et libérer de son cauchemar un innocent. L’association Pan de lune tient à exprimer son soutien sans faille à Dominique RECH et à sa famille. Faudrait t‘il donc besoin d’un Zola ou d’un Alexandre Dumas pour dénouer les intrigues empoisonnées des menteurs et des jaloux ?
Nicolas de Chamfort, dans ses Maximes et pensées avait écrit : « La calomnie est comme une guêpe qui vous importune et contre lequel il ne faut faire aucun mouvement, à moins qu’on ne soit sûr de la tuer, sans quoi elle revient à la charge, plus furieuse que jamais. »
Dominique RECH ne veut tuer personne. Alors que la calomnie s’arrête. Dominique RECH enseigne la vie. Qu’il soit reconnu et respecté. »
Il est important d’ajouter que de très nombreuses personnes, dont des parents d’élèves, des professeurs, soutiennent Dominique Rech parce qu’ilssont convaincus de la vérité.
Il nous semble aussi important de signaler la qualité et l’intégrité d’un journaliste : Georges Dufor, auteur des articles qui suivent. Cet homme au talent d’écriture indéniable n’a pas eu peur de joindre l’action au geste en écrivant au ministre de l’Éducation nationale et à Brigitte Macron.
Ne pas lui répondre serait un outrage à la Justice.
Dominique Rech a été déclaré innocent par le Rectorat même. Alors, pourquoi avoir détruit sa vie ?
28 juillet 2021: Réponse de la cheffe de cabinet du Ministère :